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Planning d'activité
21/02/2010 23:42
Voici l'agenda de nos actions pour le 77:
Septembre 2011
Réunion de comité :
Octobre 2011
Réunion de comité :
Novembre 2011
Réunion de comité :
Décembre 2011
Réunion de comité :
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Transports gratuits pour toutes et tous !
21/02/2010 22:22
Notre programme concernant les transports:
LES TRANSPORTS
Limiter les nuisances...
Dans notre département, le trafic routier est particulièrement dense avec la francilienne, ses 4 autoroutes (A4, A5, A6 et A104), soit 230 km au total, ses 6000 km de routes départementales et ses 620 km de routes nationales empruntées chaque jour par tant de camions. Le trafic aérien est lui aussi très important avec les couloirs aériens de Roissy, Orly et Melun Villaroche.
Ainsi, les habitants de Seine-et-Marne sont donc condamnés à subir une pollution de l'air et une nuisance auditive importantes tout en voyant leur environnement de plus en plus dégradé à cause des routes...
En revoyant le schéma d'urbanisation et de transports (SDRIF) et en mettant l'accent sur les transports en commun et le transport gratuit pour tous, le NPA fait le choix d'aider tous ces salariés qui doivent se déplacer au quotidien plutot que de faciliter les quelques privilégiés (cadres et chefs d'entreprises) qui empruntent les grandes liaisons autoroutières ou TGV.
Développer le réseau ferroviaire ...
Aujourd'hui, les lignes SNCF sont centralisées sur Paris. Il est pourtant essentiel de développer des transports en commun propres au département.
Il y a encore peu de temps, il était impossible d'aller de Meaux à Melun sans passer par Paris, mais si des efforts ont été fait, ils restent encore plus qu'insignifiants au regard de la situation de tous ces seine-et-marnais qui, quotidiennement peuvent pour certains passer 3 heures dans les transports afin de rejoindre leur lieu de travail le matin, et regagner leur domicile en fin de journée.
En utilisant les transports en communs, Melun/Meaux se fait en 1h50 (contre 40 minutes en voiture) et Sénart /Marne-la-Vallée se fait en 1h30 (contre 35 minutes en voiture). Il est impensable de voir tant de citoyens perdre chaque jour près de 3 heures de leur temps dans leurs déplacements essentiels.
Entretenir le réseau ferroviaire ...
Ces 3 heures actuellement perdues dans les transports peuvent aussi s'allonger considérablement lorsque des trains sont supprimés ou tombent en panne. Les retards sont toujours trop présents sur la plupart des lignes.
Sur la ligne D par exemple les incidents sont quotidiens faute d'entretien des machines et sur certains trajets on reste surpris de découvrir encore que l'on montera dans des petits-gris inconfortables et inaccessibles aux personnes à mobilité réduite...
Rendre gratuits les transports publics...
Le ticket Melun/ Paris s'élève aujourd'hui à presque 8 euros soit 16 euros quasiment pour un aller retour. Ces tarifs particulièrement élevés représentent un budget conséquent pour des familles seine-et-marnaises modestes qui voudraient accéder à des sorties culturelles ou à des loisirs parisiens.
Et c'est un budget encore plus important pour celles et ceux qui sont forcés de faire des trajets quotidiens pour des raisons professionnelles (123,60 €/ mois)
Nos propositions :
- imposer la gratuité des transports publics pour toutes et tous (priorité écologique et sociale)
- donner un maximum de moyens au service public des transports pour qu'il remplisse ses missions de service public
- améliorer les conditions de transports, de régularité et de confort mais en mettant la sécurité ferroviaire au centre de toutes les décisions
- développer et étendre l'accessibilité aux transports aux personnes à mobilité réduite
- créer une liaison ferrée entre le nord et le sud du département.
- réinvestir dans des lignes aujourd'hui inexploitées ou mal exploitées car peu rentables.
-développer des alternatives au tout camion.
-revoir le schéma d'urbanisation et de transports (SDRIF) pour préserver les terres agricoles
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Moins d'inégalités, moins de pollution !!!!!
21/02/2010 21:39
Notre programme pour l'agriculture, l'environnement et les transports:
L'AGRICULTURE
La Seine-et-Marne a un visage double: département mi-rural, mi-urbain, il est plein de paradoxes. La politique régionale doit donc prendre en compte sa spécificité en s'appuyant sur les ressources naturelles disponibles tout en les préservant via une agriculture de proximité respectueuse de l'environnement.
Au niveau régional, le budget alloué à l'agriculture est de 5, 9 millions d'euros en 2010. Ce secteur s'inscrit dans le cadre des pôles de compétitivité qui se gorgent des subventions de l'Europe et dévorent les derniers espaces de culture vivrière. Les terres se concentrent entre les mains de grandes sociétés de l'agrobusiness qui produisent presque exclusivement des céréales et des betteraves. En parallèle, les agrocarburants assurent une nouvelle source de profits et de subventions. Alors que la surface des terres arables pourrait nourrir la population, il n'en est rien du fait de l'orientation de l'agriculture régionale.
La Seine-et-Marne représente à elle seule la moitié de l'agriculture de la région et ce secteur représente 7% de l’activité économique du département. Avec ses 1 850 Km de cours d’eau, ses 135 000 ha de forêt et ses 3 000 exploitations agricoles (dont 451 d'entre elles compte plus de 200 ha d'exploitation) la surface agricole couvre 60% de la surface du département. Il s'agit de la surface la plus importante d'Ile-de-France.
Nos propositions:
- promouvoir une agriculture de proximité respectueuse de l'environnement.
- combattre l'agriculture intensive et fera en sorte de réorienter la politique agricole pour répondre enfin aux besoins de la population.
- réorienter la distribution en intégrant dans les marchés publics la question de la localisation.
- promouvoir la vente directe (AMAP...)
- permettre au plus grand nombre d'accéder à des produits de qualité en privilégiant des points de vente collectifs.
L'ENVIRONNEMENT
Avec 150 carrières en activité, la Seine-et-Marne figure au deuxième rang national pour l'extraction de minerais. Autant dire que nous avons des ressources dans nos sols ! Pourtant, dans ces mêmes sols, l'ensemble de la région enfouit toute sortes de déchêts: béton, déchêts urbains, boues d'épuration...
Aujourd'hui, la Seine-et-Marne devient un dépotoir, puisqu'aujourd'hui, c'est 70% des déchets franciliens qui sont accueillis dans notre département.
Il est urgent de veiller à ce que nos ressources naturelles soient préservées !
Quant à notre eau, petit à petit, elle se privatise...Les municipalités délèguent aux structures intercommunales la gestion et la distribution au privé. Véolia fournit déjà 4 millions d'habitants à travers le Syndicat des eaux d'Ile-de-France.
Il est aujourd'hui essentiel de garantir la satisfaction des besoins vitaux (eau, énergie, alimentation, santé...) pour toute la population sans détruire nos ressources naturelles.
Nos propositions :
- Préserver nos ressources naturelles comme (eau, terre) pour une agriculture durable
- mutualiser la gestion des déchets franciliens
- limiter la proportion de déchêts arrivant en Seine-et-Marne
- remettre en cause la privatisation de la distribution de l'eau
- mettre en place un service public régional de l'eau qui pourra s'intégrer plus tard dans un service public national de l'eau.
- garantir un seuil gratuit de consommation de l'eau (fixé à 40 m3 par an et par personne)
- mettre en place une tarification fortement progressive pour inciter à économiser l'eau.
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Un vrai logement pour toutes et tous !
21/02/2010 21:51
Notre programme pour le logement:
Une précarisation des villes seine-et-marnaises....
Plus de 80% des communes de Seine-et-Marne ont vu leur population augmenter. La progression est très marquée dans les secteurs en développement des villes nouvelles de Marne-la-Vallée et de Sénart à l'inverse des villes moins attractives telles que Meaux, Fontainebleau, Nemours, Montereau-Fault-Yonne ou Coulommiers.
Le taux d'urbanisation et de concentration de la population est très élevé et concentré dans la partie ouest sur laquelle on trouve des villes en Zone Urbaine Sensible (telles que Dammarie, le Mée-sur-Seine, Savigny-le-Temple à court terme) avec des quartiers en réelle souffrance.
Des plans de rénovation urbaine fleurissent de plus en plus dans ces villes entraînant des destructions de logements et des déplacements de familles.
Si pour chaque logement social détruit , la loi impose de reconstruire un logement équivalent, dans les faits, la hauteur du loyer de ces appartements rénovés dissuade bon nombre de familles à rester sur place.
Lorsque l'on sait que les montants des loyers ne cessent d'augmenter dans le département, on comprend aisément que de plus en plus de personnes se retrouvent en extrême difficulté pour accéder ou conserver leur logement.
Nos propositions :
- exiger un réaménagement de la ville répondant aux besoins des habitants.
- imposer une rénovation urbaine des logements sociaux avec une obligation de pouvoir revenir sur place avec un loyer compatible.
- interdire les expulsions.
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Le droit à un emploi et à une formation !
21/02/2010 21:47
Notre programme concernant l'emploi :
L'EMPLOI
Si tant de personnes empruntent les transports quotidiennement, c'est bien parce qu'en Seine-et-Marne, les emplois ne se trouvent pas à proximité des logements. L'expansion de l'immobilier en Seine-et-Marne ne va malheureusement pas de pair avec la création d'emplois. En éloignant de plus en plus de Paris les constructions de logements (par exemple dans les zones rurales de Seine-et-Marne) on éloigne ces habitants des centres d'activité, des zones d'emploi.
Aujourd'hui, 68% de la population occupe 22% du territoire sur la partie Ouest du département (sur une zone qui s’étend du Sud de Fontainebleau à Othis et Meaux). Pourquoi? Tout simplement pour se rapprocher des zones d'activité et accéder plus facilement aux réseaux ferroviaires.
Ansi, près de la moitié de la population départementale est concentrée sur les 30 communes de plus de 10 000 habitants. La Seine-et-Marne est le 11ème département le plus peuplé de France.
Il est aujourd'hui urgent de rééquilibrer la répartition de la population Seine et Marnaise en desservant davantage les zones rurales et en agissant contre les délocalisations.
En Seine-et-Marne, l’industrie représente environ 23% de l’activité économique soit environ 4 500 entreprises + 6 400 entreprises dans le domaine de la construction. Ce secteur est composé d’environ 3 700 entreprises attirées par les avantages en logistique du département (nombreuses routes, voies fluviales), mais aussi ses ressources (agricoles pour l’industrie alimentaire, ressources du sous-sol pour la construction par exemple). Pourtant, dans de nombreux bassins, l'emploi industriel est menacé.
Nos propositions :
- développer l'emploi industriel dans notre département
- lutter contre les délocalisations
Deux villes nouvelles...
La région d’Ile-de-France a débloqué beaucoup d'argent pour dynamiser nos deux villes nouvelles : Marne-la-Vallée et Sénart.
Marne-la-Vallée a reçu déjà 15,24 millions de la région pour relancer son économie. Troisième pôle tertiaire d'Ile-de-France, Marne-la-Vallée propose aujourd'hui 107 000 emplois, mais seuls 40 % sont pourvus par des résidents. Sénart quant à elle emploie 26 000 employés et a créé plus d'emplois qu'elle n'a accueilli de nouveaux actifs résidents. Pourtant, là encore, la ville n'a pas pour autant fait baisser son taux de chômage.
En effet, le développement économique est marqué par le commerce et la logistique donc très peu diversifié, cela ne permet donc pas à toutes et tous d'accéder à un emploi dans son secteur.
Nos propositions :
- créer des emplois de proximité et de service dans tous les domaines (à la personne, surveillance dans les établissements scolaires, accompagnement des jeunes...)
- développer l'emploi public dans toute la Seine-et-Marne (et pas seulement les villes nouvelles)
- renforcer les équipements et les services de proximité tant en zone urbaine qu'en zone rurale en matière de loisirs etc …
Un département très jeune...
La Seine-et-Marne est caractérisée par une population jeune ; la part des moins de 20 ans est supérieure à celle de la région, respectivement 29,8% contre 27,4% . La jeunesse caractérise la partie ouest du département, au contact du cœur de l’agglomération parisienne.
Il est nécessaire de favoriser les pôles d'éducation publics et de proposer au sein même de chaque département des possibilités de formation professionnelle publique qualifiante.
Il conviendra aussi d'aider les jeunes étudiants et étudiantes à accéder à un logement correct pour qu'ils puissent poursuivre leurs études en Seine-et-Marne.
Nos propositions :
- rénover les lycées et les universités (Melun, Sénart, Marne-la-Vallée, Fontainebleau)
- proposer une offre de formation professionnelle publique qualifiante
- créer des établissements publics de formation dans notre département
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Une liste NPA en Seine et Marne?
21/02/2010 21:22
Département de la grande couronne trop souvent oublié, la Seine-et-Marne ne manque pas pour autant d'atouts. Plus grand département d'Ile-de-France, sa croissance démographique est la plus importante de la région.
Mais si le département est vaste et potentiellement très attractif, on se rend très vite compte que l'aménagement du territoire seine-et-marnais a été particulièrement délaissé.
Au quotidien, les réseaux de transports publics sont mal ou sous-exploités tandis que les équipements comme les crèches, les universités ou les hôpitaux manquent cruellement de moyens.
L'expansion immobilière reste toujours très importante dans ce département dont le paysage se dégrade encore davantage de jour en jour avec une concentration toujours plus forte de déchêts venus de toute la région.
Le projet du grand Paris ne va surement pas arranger les choses pour des seine-et-marnais toujours plus nombreux. Bien au contraire, mis sur le banc de touche, le département est un véritable oublié du développement régional, ce qui dégrade peu à peu la qualité de vie de ses habitants qui doivent faire toujours plus de kilomètres pour accéder à un emploi.
Il y a aujourd'hui urgence à redonner l'argent public à nos services publics. C'est au plus proche de chaque citoyen que l'emploi et les services de proximité doivent être assurés. En Seine-et-Marne, cela se traduit par la sauvegarde d' hopitaux de qualité (celui de Melun ou Lagny) et le réinvestissement de l'argent public dans l'éducation, la poste ou les transports.
C'est ensemble que l'on parviendra à faire bouger les choses...!
Tout changer, rien lâcher!
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Composition de la liste NPA 77
21/02/2010 22:46
Voici la liste des candidats du NPA pour le 77:
Seine-et-Marne
1. Coralie WAWRZYNIAK 29 ans, professeur des écoles 2. Mathieu LAURENT 27 ans, doctorant en sciences politiques 3. Maryse FEYDY 57 ans, conseiller de l’emploi 4. Romain MAS 19 ans, charcutier traiteur 5. Annie FOURRE 58 ans, enseignant 6. Sébastien NORIS 33 ans, Cheminot 7. Salma OUMARI 24 ans, documentaliste 8. Eric LEBREUX 47 ans, enseignant 9. Catherine ALBERT 34 ans, agent de développement local 10. Olivier JULLIEN 51 ans, enseignant 11. Christelle GLEMET 35 ans, contrôleuse du travail 12. Steeve DREUX 24 ans, technicien de développement 13. Catherine DELLA 56 ans, ex-cadre privé 14. Jérôme FERARD 31 ans, employé 15. Coralie JACOB 32 ans, ouvrière d’imprimerie 16. Pierre SPIELVOGEL 52 ans, instituteur 17. Thérèse GUAMIS 49 ans, éducatrice 18. Christophe ALLIAUME 33 ans, aide-soignant 19. Odile COINTET PINELL 62 ans, retraitée 20. Jean-Michel RICHARD 59 ans, enseignant 21. Sarah BENICHOU 27 ans, salariée politique de la ville 22. Bernard DOURNEL 44 ans, technicien privé 23. Vololona RAINIBE 38 ans, enseignante
Plus jeune : 19 ans Plus âgé : 62 ans Moyenne d'âge des candidats : 39 ans
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